Pour le projet de fin d’études j’ai suivi abattage des arbres. J’ai mis au point la métaphore entre la torse de l’homme et le tronc de l’arbre et j’ai remplace le non-vivant par le vivant dans le cycle abattage. J’ai symbolisé par des formes les actions et les opérations de ce cycle qui m’οντ permis de concevoir un premier model abstrait de celle qui pourrait être une ligne de vie.
A partir de ce model, je me suis sentie libre de travailler sur une maison dans le foret qui aurait suivi la meme ligne dans la succession de ses espaces.
Le cycle de vie de l’arbre ; de abattage à la construction. La métaphore entre le torse de l’homme et le tronc de l’arbre ; recréer le cycle de vie de l’homme en adéquation avec celui de l’arbre. Les actions et les opérations de ce cycle représentées par un modèle abstrait. Une maison dans la forêt qui suit cette même succession dans ses espaces de vie.
Le lac Karla (Grèce continentale) a été asséché artificiellement pendant les années 50, les agriculteurs de la région étant en quête de nouveaux terrains d’exploitation. L’écosystème ayant été gravement perturbé, le sol s’étant avéré peu fertile, le lac a été construit à nouveau au début des années 2000. Sur les endiguements qui construisent son lit, le corps essaye de s’approprier de se nouveau paysage : son échelle, sa pente, ses matériaux venus d’ailleurs. Les actions de monter, descendre, glisser, pénétrer, sauter se symbolisent par cet objet métallique.
1) Performance collective préparatoire, étudiants d’Ecole D’architecture de Volos (Grèce) sur les rives du lac Karla (Grèce, 2003). Sous le guide d’Eva Manidaki. Images de Eva Manidaki.
2) Performance personnelle sur les rives du lac Karla (Grèce, 2003). Images d’Elisavet Kiourtsoglou
Installation, video
En collaboration avec Angeliki Sioli.
Exposition Collective, Anti-Maimuisme, Athènes, juin 2004
Commissaire: Locus Athens
Nous proposons l’occupation des espaces d’aération entre les appartements d’un immeuble. Dans un premier temps, nous nous y installons pendant quelques heures de la journée.
Dans un second temps, un système perpendiculaire des cavités, en communication avec les espaces secondaires des appartements se met en place. À travers ce système, le sous-sol et la toit-terrasse sont connectés. Des objets et du mobilier trouvés dans la rue commencent à s’y accumuler, preuve de l’existence de l’habitant-parasite qui, comme un rat, circule et habite ces espaces souvent délaissés par l’homme.
Installation en collaboration avec Angeliki Sioli
exposition collective ANTI-maimuisme, , Athènes, Juin 2004.
Commissaire: Locus Athens.
Nous proposons l’occupation des espaces d’aération entre les appartements d’un immeuble. Dans un premier temps, nous nous y installons pendant quelques heures de la journée.
Dans un second temps, un système perpendiculaire des cavités, en communication avec les espaces secondaires des appartements se met en place. À travers ce système, le sous-sol et la toit-terrasse sont connectés. Des objets et du mobilier trouvés dans la rue commencent à s’y accumuler, preuve de l’existence de l’habitant-parasite qui, comme un rat, circule et habite ces espaces souvent délaissés par l’homme.
performance
Sous le guide de Massimo Furlan/Claire de Ribaupierre
24-25-26 juin 2011
Avec Krystel Cohen, Tam adian Dembele, Nicolas Ignace, Elisavet Kiourtsoglou, Carolina Natal, Azadeh Radbooei, Diana Rey, An Tempere, Maud Watel-Kasak
Massimo Furlan, artiste en résidence au Théâtre de la Cité, explore ici la figure de la mère par le récit et la performance il est mené en collaboration avec les résidents de la Cité Internationale de Paris. Par petits groupes, les spectacteurs iront d’une Maison à une autre où ils rencontreront des étudiants de différentes nationalités, de différentes cultures qui les inviteront à entrer dans leur propre chambre à voir, écouter, entendre un récit, sous des formes variées, lié à l’histoire de la (de leur?) mère. Ce travail questionne l’indentité du narrateur mais aussi la véridicité de ses actes et paroles, par là même met en évidence la question de la fiction.
Attiki Odos.
What you see and think during a journey?
Taking the same line bus, during 24h, I am questioning the limits between perception et thought.
How time can be felt, if it is not in memory?
Recorded messages in the answering machine overwrite the deconstruction and construction of a building over a period of six months.
Demolition is what memory does: erase in order to liberate space. Thus, everything is still there.